Moteur  QUASITURBINE  Engine
(Résumé historique des demandes d'aide refusées)

Pas de nouvelle - Bonne nouvelle! (... pas toujours!)

Après 10 mois, enfin une réponse du MRST Ministère de la Recherche, de la Science et de la Technologie
du Québec à une demande de subvention de 10,000$ (Volet III). 

(De son coté, le fédéral a mis une semaine à préciser qu'il n'aidait pas les innovateurs,
une réponse guère meilleure!)

Voici la réponse des inventeurs au REFUS du MRST (Volet III)
 

... et si ces programmes étaient surtout destinés à soutirer de l'information des innovateurs? Alors là, c'est réussi!

Des inventeurs qui ne boudent pas l'État: 
A
utres démarches au Québec... pendant que le Canada garde ses distances.

À l'automne 96, les inventeurs ont tenté de faire reconnaître la Quasiturbine au concours des Grands Prix Québécois de l'Invention
organisé par le MRST Ministère de la Science et de la Technologie (alors MIC) et l'Ordre des ingénieurs du Québec. 
La lettre de refus précise que les critères de ce concours sont élevés, et que seules les inventions exceptionnelles sont retenues.

En avril 1997, le CRIQ - Centre de recherche industriel du Québec complète un rapport confus et négatif sur la Quasiturbine, 
sur la base du brevet d'invention mal étudié et mal compris, et sans aucune vérification auprès des inventeurs. 
La méthodologie scientifique fut bafouée au point où on a même formellement et par écrit
"interdit" aux inventeurs de communiquer avec les auteurs du rapport dévastateur, 
largement diffusé auprès de l'establishment local et canadien.

En 1998, une demande de subvention fut adressée au MRN - Ministère des Ressources Naturelles Secteur de l'Énergie
pour un projet de "rayonnement de l'ingéniosité québécoise à l'étranger".
La lettre de refus datée du 3 novembre 1998 et signée par M. Benoît Drôlet 
réfère le dossier au Ministère de l'Industrie et du Commerce (un ministère où les innovateurs individuels ne sont pas admissibles).
Depuis, le signataire de la lettre a à plusieurs reprises émis des réserves gratuites à répétition sur la Quasiturbine,
et s'est permis des propos de tribologiste amateur qui ont dus être contrés par les inventeurs à plusieurs occasions.
Il faudrait une généreuse subvention ... seulement pour réparer le tord causé!

En septembre 1999 une subvention de 5,000$ fut demandée au Québec
pour permettre la présentation de la Quasiturbine au congrès international du SAE au Wisconsin.
Suite à un accueil initiale encourageant, la demande fut finalement refusée
(... et remplacer par un chaperon du ministère des affaires intergouvernementales 
de la délégation du Québec à Chicago qui fut envoyé au Wisconsin pour encadrer la Quasiturbine...)

En novembre 1999, un projet de "filet de sécurité" pour les travailleurs de l'automobile du Québec 
a été brièvement décrit à M. Bernard Landry et deux ce ses conseillers lesquels se sont engagés à donner suite (jamais revu...),
alors que le Québec venait d'offrir à GM de Boisbriand un bouquet de 360 millions $ d'avantages divers pour rester ouvert un autre 3 ans!
L'idée a aussi été transmise au ministre de la Recherche Sciences et Technologies,
au ministre de l'environnement d'alors (en rapport avec les objectifs du protocole de Kyoto) et à plusieurs autres.
Même le syndicat des travailleurs de l'automobile du Québec en fut saisi, 
ainsi que le fonds d'investissement de la FTQ et la Société Générale de Financement du Québec.
La caisse de dépôt et de placement du Québec fut aussi informée de cette technologie et de cette idée.
Alors que l'État cherche habituellement à sensibiliser ses chercheurs, 
on a ici une situation inversée où des chercheurs tentent de sensibiliser l'État ! Aucune réponse ni suite de fut donnée...

À la demande des inventeurs et sur l'initiative de l'ing. M. Réal Carbonneau ing. MRNQ
se tenait le
21 mars 2000 au MRN - Ministère des Ressources Naturelles la première de ce qui devait être une série de rencontres
 d'un groupe d'experts convoqués pour faire une évaluation systématique et publique de la technologie Quasiturbine.
En dépit de l'insistance des inventeurs et de M. Carbonneau, le groupe n'a pu être reconvoqué, 
ce dernier ayant reçu instruction de ses patrons de ne pas donner suite, ni d'émettre d'avis favorable sur la Quasiturbine.

En octobre 2000, comme le Ministère des Ressources Naturelles - Énergie ignore une demande de soutien de 5000 $,
les innovateurs ont conclu avec la SGF - Société Générale de Financement 
un accord de principe subventionnant un kiosque au EVS-17 - Electric Vehicle Symposium à Montréal,
en échange d'une copie de la liste des visiteurs potentiellement intéressés par la technologie Quasiturbine.
Suite à de l'opposition de d'autres sociétés d'État, la SGF a fait marche arrière à la dernière minute,
et les innovateurs ont du louer une salle 2 soirs dans un hôtel près du Palais des Congrès pour recevoir les visiteurs!

Décembre 2000 - Les inventeurs tentent pour une seconde fois de faire reconnaître la Quasiturbine au concours 
des Grands Prix Québécois de l'Invention organisé par le MRST Ministère de la Sciences et de la Technologie et Centre Innovation.
 Centre Innovation explique que la candidature Quasiturbine a été déclarée inintelligible et retirée du concours en amont du jury 
(une mesure protégeant les personnalités du jury, comme le représentant le Québecor et celui de la SGF).
La Quasiturbine fut donc jugée par d'autres que le jury et non retenue parmi les 16 lauréats.
Tout comme à l'édition 1997 du concours, l'invention Quasiturbine ne rencontre pas les hauts standards du jury québécois !

En janvier 2001, une subvention de 15,000 $ (ou achat de publicité) fut demandée pour aider la préparation
du livre "La Quasiturbine Écologique" , dont le budget préparé par les presses de Polytechnique s'élevait à 53,000 $ 
(Refusée - Le livre fut quand même édité à perte par les inventeurs - Promci Éditions).

Le 12 juillet 2001, les inventeurs ont sollicité une aide de 10,000$ du volet III du MRST 
Ministère de la Recherche Science et Technologie. Refusée 10 mois plus tard. (voir détail en début de page).

En juillet 2001, les innovateurs ayant reçus une invitation à publier leur travaux scientifiques
dans les prestigieux Comptes Rendus de l'Académie des Sciences de France,
ils se sont adressés au MRI - Ministère des Relations internationales (Ministre Louise Beaudoin)
et aux Délégué du Québec en France pour un support à ce projet d'envergure et de prestige. 
La demande est toujours sans accusé réception, ni réponse.

En août 2001, les inventeurs ont été prévenu par le MRST - Ministère de la Science et de la technologie 
que la technologie Quasiturbine ne ferait pas partie de l'exposition "Québec tout simplement génial"
http://www.toutsimplementgenial.qc.ca      http://www.meq.gouv.qc.ca/lancement/simp_genial 
L'exposition est revenue précipitamment de New-York suite aux événement du 11 septembre 2001,
et s'est immédiatement redéployé à ÉTS - École de Technologies Supérieures de Montréal.
Les inventeurs de la Quasiturbine ont alors accepté d'être conférencier invité à un dîner causerie sur leur technologie,
mais, alors que les directeurs des communications des ministères MRST et MRN procédaient aux arrangements finaux,
une intervention de dernière minute des ministères a exigé la substitution du sujet Quasiturbine et du conférencier.

En mars 2002, après 6 ans d'indifférence et d'hostilité, les inventeurs ont cru que le moment était peut-être venu
pour le Québec de lancer un signal clair à l'ensemble de ses ministères et organismes parapubliques,
à l'effet que la technologie Quasiturbine n'est pas une honte, ni un tabou, 
et qu'il est temps de lui faire une juste place dans le porte-folio des technologies québécoises?
Promci Édition a proposé au Gouvernement (voir projet QT hydrogène et correspondances) une promotion internationale 
consistant en la diffusion commanditée du livre "La Quasiturbine Écologique
dans chacune des pochettes des congressistes au prestigieux colloque international sur l'hydrogène:
14th World Hydrogen Energy Conference - Montréal June 9 - 13, 2002 http://www.hydrogen2002.com
La Quasiturbine n'est pas seulement associée aux économies d'énergies, puisqu'elle dispose de propriétés uniques
et particulièrement à l'égard de l'hydrogène http://quasiturbine.promci.qc.ca/FQTHydrogene.html 
Le livre "La Quasiturbine Écologique" est donc pertinent à la communauté de chercheurs sur l'hydrogène. 
Rien à faire, le projet de la distribution commanditée du livre Quasiturbine 
fut sans réponse de la Ministre Rita Dionne-Marsolais, ni du cabinet du Premier Ministre

La technologie Quasiturbine fut ainsi tenue à l'écart du Congrès sur l'hydrogène ...

Le 4 juillet 2002, compte tenu de la nécessité d'un urgent redressement d’attitude atteignable seulement si le gouvernement 
diffuse largement un signal fort et non équivoque que la technologie Quasiturbine fait dorénavant bien partie 
du porte-folio des technologies québécoises et que le temps est venu de lui laisser une juste place,
les innovateurs ont adressé à Madame Pauline Marois, Ministre de la Recherche de la Science et de la Technologie,
un projet amendé de distribution commanditée du livre « La Quasiturbine Écologique » à l’intention des ministères, 
les institutions parapubliques, les laboratoires de recherches, les universités, les cégeps et les centres de formation professionnelle, 
et même les écoles secondaires. Un projet de distribution commanditée des mêmes 1000 copies du livre « La Quasiturbine Écologique » 
qui avaient été réservés pour le congrès sur l'hydrogène.
Un délai raisonnable permettrait de planifier la distribution pour la rentrée de septembre 2002. 
Comme prévu au projet original pour l'hydrogène, chaque copie du livre ainsi distribuée pourrait porter un médaillon 
précisant que « la responsabilité du contenu relève uniquement des auteurs ». 
Cette distribution aura un effet exemplaire et motivant entre autres pour de nombreux jeunes qui manquent de modèles, 
constituera un thème exigeant pour leurs projets et travaux académiques, 
et sera une démonstration concrète du respect du gouvernement à l’endroit des innovateurs persévérants
Plus de détails à: http://quasiturbine.promci.qc.ca/AssNatGautrin020611.html 

Le 17 décembre 2002, une demande plus globale de soutien multi-ministériel
accompagnée d'un brouillon de mémoire à l'intention du conseil des ministres 
http://quasiturbine.promci.qc.ca/QTMEMOIREQUEBEC021217.doc
fut adressée à Mme Marois et est restée sans réponse.

Conseil de la science et de la technologie du Québec http://www.cst.gouv.qc.ca/cst_mandat.html
a pour fonction de conseiller le ministre de la Recherche, de la Science et de la Technologie
sur toute question relative à l'ensemble du développement scientifique et technologique du Québec,
et peut donner au ministre des recommandations relatives au développement scientifique et technologique.
Le Conseil n'a jamais accepté d'établir un contact avec les inventeurs
(sauf pour exiger le retrait de certains de ses fonctionnaires de la liste d'envoi des inventeurs !).

Notez que cette requête du 17 décembre 2002 au MRST 
est le seul dossier encore ouvert et en attente de réponse au gouvernement du Québec.

Voir aussi
La q
uestion Quasiturbine soulevée par le député de Verdun, M. Henri-François Gautrin à
L'ASSEMBLÉE NATIONALE du Québec, 11 juin 2002
http://quasiturbine.promci.qc.ca/
AssNatGautrin020611.html

 

Jusqu'à quel point les innovateurs doivent-ils persévérer avec l'État ?
Le Québec, une terre fertile à l'innovation !

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