Proposition pour une synergie
Quasiturbine et génératrice moteur-roue
Il est illusoire de relancer au
Québec l'aventure du moteur roue
compte tenu de la perte de l'avance
technologique en ce domaine,
mais comme il faudra une génératrice
embarquée
dans chaque véhicule (hybride) branchable (prolongateur d'autonomie),
« l'avance technologique québécoise sur la Quasiturbine »
permettrait de lancer un véritable projet national,
dont des dizaines de millions de copies seront nécessaires
à l'industrie de l'automobile et des véhicules utilitaires d'ici quelques
années.
Une Synergie
Compte tenu que cette même technologie trouverait
usage en
aviation et pour les Drones
de puissance,
un rapprochement Quasiturbine et
génératrice moteur-roue pourrait mettre le Québec / Canada sur la carte... d'autant
plus que l'industrie est encore imprévoyante à l'égard de ce besoin
particulier en génératrice embarquée (prolongateur d'autonomie), et
elle sera le moment venu, prise par surprise par
une forte et exigeante demande...
Un « Projet National de
Génératrice Quasiturbine Embarquée » pour véhicules (hybrides) branchables
requière une capacité initiale d'environ 20 CV (pour l'automobile), multi carburant, efficace,
compact, silencieuse et sans vibration. Des caractéristiques naturelles à
la Quasiturbine, qui pourraient s'étendre aux véhicules lourds et hors
routes.
Ce projet permettrait de recycler
une partie du savoir faire de la génératrice moteur-roue (moins exigeant
en contrôle que la fonction moteur sur véhicule), et de tirer
partie de l'avance technologique et des brevets Quasiturbine pour
surpasser les autres technologies motrices.
Voilà une
possibilité de contribution nationale à l'électrification des transport,
à la fois enrichissante pour le pays,
et écologique pour la planète !
Une Intégration Monolithique
Pourquoi la synergie Quasiturbine moteur-roue serait-elle gagnante?
Alors que les concepts conventionnels juxtaposent un moteur et une
génératrice, la géométrie compacte et le centre creux de la Quasiturbine
permettent un intégration monolithique d'une génératrice annulaire, contre
laquelle les concepts conventionnels ne pourront pas sérieusement compétitionner.
Miser sur cette intégration annulaire unique et sans
vibration permettra d'offrir aux véhicules (hybrides) branchables le groupe générateur
exigeant qu'elles anticipent.
Options de Génératrices
Il va sans dire que le projet pourrait être réalisé
avec des génératrices conventionnelles moins efficaces et plus
volumineuse, dont l'intégration serait certainement moins élégante.
C'est pourquoi il faut marier le meilleur moteur
Quasiturbine à la meilleure génératrice moteur-roue.
Marchés Visés
En sus du marché des véhicules (hybrides) branchables
qui requerront éventuellement plusieurs dizaines de millions d'unités par années, un
tel groupe générateur pourrait avantageusement combler des besoins dans le
domaine de la mobilité, dont celui des plaisanciers du caravaning RV, et
des embarcations de plaisances... auquel s'ajouterait les usages
utilitaires, lourds, hors routes et stationnaires.
Pour le moment, tous (au Canada) ne voient pas
l'intérêt de la Quasiturbine en transport. Même si presque 100 % de la <
force motrice mobile mondiale > vient aujourd'hui de la
combustion et le restera pour les décennies de transition avenir, la venue
de moteurs plus performants est déraisonnablement évacuée de toutes
solutions écologiques, même de transition. Par exemple, dans son rapport
de novembre 2010 sur la mobilité en transport, le « Réseau Ingénieurs »
du Québec
http://www.reseauiq.qc.ca/fr/discussion/enquete_etudes/mobilitedurable.html
n'insiste pas sur le développement de moteurs plus performants en
transport, bien qu'il supporte les bio-carburants de la seconde
génération (auquel s'ajouteront les carburants synthétiques-nucléaires du
futur...), et soutient la voiture électrique, sans toutefois prioriser
l'incontournable « prolongateurs d'autonomie » à carburant nécessitant de
meilleurs moteurs. Cette position rejoint l'apparente position historique
de ITAQ - L'Institut du transport avancé du Québec
www.itaq.qc.ca et celle du CNTA
- Centre national du transport avancé du Québec
www.cnta.ca , lesquels s'abstiennent
toujours d'afficher un quelconque intérêt envers la Quasiturbine comme
solutions technologiques en transport durable. Peut-être répercutent-ils
simplement l'abstention des Ministères de l'énergie du Québec et du Canada
(les meneurs de jeu)? Peut-être ont-ils tous raison ou intérêt à ne pas
voir? A moins que ce soit qu'une simple question de temps et d'évolution...
Pendant ce temps à l'étranger, nombreux sont ceux et celles qui voient déjà la
Quasiturbine occuper une place importante dans le domaine de la mobilité
en transport durable. Voir par exemple:
May 2009 - Next Generation Vehicles
A STUDY ON SUITABILITY OF QUASITURBINE ENGINES FOR NEW AGE
CARS by Manmatthan
http://nextgenvehicles.blogspot.com
Prolongateur Quasiturbine
à fusion-froide?
La fusion-froide semble
acquérir ses lettres de noblesse depuis sa
reconnaissance par la NASA en 2011
http://technologygateway.nasa.gov/media/CC/lenr/lenr.html
Le plus important battage publicitaire vient du
professeur Andrea Rossi et son « e-Cat (Energy
CATalyser) » http://rossifocardifusion.com
http://www.fusion-froide.net
http://www.journal-of-nuclear-physics.com/?p=360
un réacteur à fusion-froide prévoyant produire 10
kW de chaleur, avec un cœur gros comme une pile D. La vapeur
pourrait être utilisée dans le domaine des
transports, car un « e-Cat » d’un demi litre
pourrait générer 100 kW thermique, soit suffisamment
pour actionner une Quasiturbine produisant 20 kWe en
prolongateur d’autonomie pour une voiture électrique.
Suite à une bisbille, le franchisé initial de
e-Cat (Defkalion-Energy) a lancé sa propre technologie
nommée « Hyperion » basée sur d'autres noyaux
atomiques
http://www.defkalion-energy.com/files/HyperionSpecsSheetNovember2011.pdf
. Pour mettre ces technologies en perspectives,
il faut savoir qu'aucun état stationnaire n'a
semble-t-il encore été atteint, et qu'en mode transitoire, «
e-Cat » annonce une production de chaleur de 6 fois
l'énergie incidente, comparativement à « Hyperion »
qui annonce 32 fois. Les 2 entreprises sont au fait
de l'existence de la technologie Quasiturbine
vapeur.
Quasiturbine
Quasiturbine QT5LSC pneumatique
(la plus petite QT.6LSC est montrée à droite)
Utilisable avec des pressions différentielles aussi faible que 10 à 50 psi!
La Quasiturbine QT5LSC Pneumatique (semblable à la
600 cc montrée ici sans différentiel, ni arbre central).
Chaque chambre a un volume de 600 cc et la rotation balaye 8 volumes par révolution
(4 en haut, 4 en bas) pour un total de 4,8 litres par révolution.
À 500 RPM, cela correspond à 2,5 mètres cubes par minute à l'entrée!
www.quasiturbine.com
Référence 2012.10.09: Le Point.fr Alors qu'il semblait condamné, le rotatif a un avenir comme prolongateur d'autonomie.
http://www.lepoint.fr/auto-addict/innovations/l-hybride-va-ressusciter-le-moteur-rotatif-09-10-2012-1515113_652.php
Le parallèle entre le cheminement du Moteur-Roue et la Quasiturbine?
www.promci.qc.ca/pureinvention/MoteurRoue
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